Marruecos
Telquel | 16-mar-2018
Comme il menaçait de le faire depuis 2015, l’actionnaire majoritaire de la Samir, cheikh Al Amoudi a finalement eu recours à la procédure d’arbitrage de la Banque mondiale dans le litige qui l’oppose à l’État marocain.
EJIL: Talk! | 16-may-2017
The treaty is an important attempt by two developing countries to move toward a new generation of BITs fully aligned with the evolution of international law.
EJIL: Talk! | 15-may-2017
While the debate on the treaty regulating business impact on human rights is likely to continue for a while longer, some recent developments in international investment law seem to be moving forward on international human rights law obligations for businesses
ISDS Blog | 11-may-2017
Morocco and Nigeria signed a new investment treaty, which is a good illustration of the new “generation” of investment protection.
LesEco | 24-ene-2017
«Amer Group», qui devait aménager la Cité de loisirs de Tamaouanza, compte saisir le Centre international de règlement des différends sur l’investissement (CIRDI) au cas où le Maroc ne parviendrait pas à trouver une solution à l’amiable.
I-ARB Africa | 29-sep-2016
This surge in the ratification of “Intra-African” BITs is part of the Moroccan “South-South Partnership” strategy
Le360 | 15-jun-2016
Après avoir essuyé un échec devant les tribunaux marocains, Al Amoudi fait appel au CIRDI pour intervenir dans le litige qui oppose à la raffinerie SAMIR.
Médias24 | 9-dic-2015
Cheikh Al Amoudi appelle à trouver une solution amiable, et ce dans un délai de 4 mois, sans quoi il adressera une requête en arbitrage au Cirdi
Médias24 | 30-nov-2015
L’Etat est moins intransigeant sur les formes. Sur le fond, il maintient ses exigences de garanties et de remboursement intégral des créances publiques.
L’Economiste | 23-nov-2015
Avec la procédure engagée actuellement au Cirdi, l’actionnaire majoritaire espère obtenir le gel du paiement des dettes.