«Amer Group», qui devait aménager la Cité de loisirs de Tamaouanza, compte saisir le Centre international de règlement des différends sur l’investissement (CIRDI) au cas où le Maroc ne parviendrait pas à trouver une solution à l’amiable.
Après avoir essuyé un échec devant les tribunaux marocains, Al Amoudi fait appel au CIRDI pour intervenir dans le litige qui oppose à la raffinerie SAMIR.
L’Etat est moins intransigeant sur les formes. Sur le fond, il maintient ses exigences de garanties et de remboursement intégral des créances publiques.